Crédit:

Tchad: Du village au bureau, des études au chomage

Aujourd’hui l’Etat « confisque » aux forces vives du pays ses éléments les plus brillants pour en faire des fonctionnaires, à un âge auquel ils sont les plus créatifs et les plus dynamiques pour innover, créer des entreprises et faire avancer la nation.

Des jeunes « brillants »et Diplômés sans emplois, avec des âmes de « Robin des bois », dévorés par l’ambition de faire avancer leur cher pays (bien légitime à cet âge et au vu de leurs succès intellectuels), sont totalement ignoré par l’État tchadien.

Plus fort encore, des recrutements hyper sélectifs appelé « remplacement numérique » entraînent une sur- qualification, génératrice d’aigreur,de carrières bloquées et beaucoup trop longues, avec des fonctionnaires d’autorité ne connaissant rien à la vie et déformés par la « vie de cour ».

L’extrême rigidité de la fonction publique , au moment ou Les besoins et les priorités de l’État évoluent, les élus du peuple ignorant le bien fondé de la loi essaye de saper ou bloqué la bonne marche de notre pays en qualité de ressources humaine, capable de faire fusionner développement et compétence. Nul part en Afrique ou ailleurs, un État se permet d’interdire ses filles et fils la rentrée à la fonction publique , lors que ses jeunes sont diplômés.

De même , la rentrée à la fonction publique est un droit pour les tchadiens (nes) qui remplissent les critères d’admission..

Peut on dire de cette fameuse loi votée par l’Assemblée nationale qui gèle la fonction publique?

Dans quel pays l’équilibre budgétaire alloué par cette dernière permet de jauger l’effectivité du budget générale de l’État ?

Moussa kach 

Étiquettes
Partagez

Auteur·e

djarmaacheikh

Commentaires